In this matter, anyway, Trump hardly appears Putin's puppet.
Au Venezuela, le plan de l’opposition a raté
“Depuis des semaines, raconte The Washington Post, l’opposition vénézuélienne travaillait à un plan d’ensemble pour chasser enfin du pouvoir le président Nicolás Maduro.
"Elle aurait convaincu plusieurs figures du régime, militaires et civiles, de changer de camp, tandis que d’autres responsables auraient été autorisés à quitter le pays.
"Maduro lui-même semblait prêt à partir de façon pacifique pour La Havane.”
Toutefois, ajoute le quotidien américain, ce plan n’a pas fonctionné.
Venezuela : Moscou met en garde Washington contre toute ingérence militaire
From its high horse in Ukraine, no doubt.
Pour le site Gazeta.ru, le Venezuela se trouve aujourd’hui à “un pas de la guerre civile”.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a eu, le 1er mai, un entretien avec le secrétaire d’État américain Mike Pompeo au sujet de la tentative de prise de pouvoir menée à Caracas par le leader de l’opposition, Juan Guaidó.
Selon ce qu’en a rapporté le service de communication du siège de la diplomatie russe, après la “tentative de coup d’État réalisée par l’opposition vénézuélienne avec le soutien évident des États-Unis”, la Russie a rappelé avec insistance que “toute ingérence de Washington dans les affaires intérieures d’un État souverain, ou menace à l’adresse de ses dirigeants, constitue une grossière violation du droit international”.
Et que la “poursuite de telles menées agressives risque d’avoir des conséquences extrêmement lourdes”.
. . . .
Selon Moskovski Komsomolets, la porte-parole du ministère, Maria Zakharova, a quant à elle qualifié de “fake news” l’information divulguée par Mike Pompeo selon laquelle “dès le 30 avril au matin, Nicolás Maduro était prêt à lâcher le pouvoir et à fuir à La Havane, mais ses conseillers russes l’en auraient dissuadé”.
And Russian threats.
Fin mars, l’atterrissage à Caracas de deux avions des forces aéronautiques russes ainsi que le débarquement d’une centaine de spécialistes militaires et de 35 tonnes de matériel avaient suscité des interrogations et des protestations de la part de Washington.
Le Kremlin avait précisé qu’il s’agissait de la mise en œuvre de contrats techniques signés entre les deux pays, une présence par conséquent tout à fait légale.
Cependant, cette présence militaire russe prend une dimension inquiétante dans un contexte où le gouvernement Trump évoque la possibilité d’une intervention militaire américaine au Venezuela.
À ce titre, l’expert cité plus haut reconnaît avoir changé d’avis quant à la position russe : “Si au début de l’année je pouvais affirmer sans hésiter que la Russie ne se lancerait pas dans un conflit armé, je dirais aujourd’hui que Moscou ne peut pas rester en dehors.”
En effet, selon lui, si les Américains interviennent militairement, “une réponse russe n’est pas exclue. La situation en Syrie apparaîtra alors à toutes les parties comme une promenade de santé.”
. . . .
Selon Moskovski Komsomolets, la porte-parole du ministère, Maria Zakharova, a quant à elle qualifié de “fake news” l’information divulguée par Mike Pompeo selon laquelle “dès le 30 avril au matin, Nicolás Maduro était prêt à lâcher le pouvoir et à fuir à La Havane, mais ses conseillers russes l’en auraient dissuadé”.
And Russian threats.
Fin mars, l’atterrissage à Caracas de deux avions des forces aéronautiques russes ainsi que le débarquement d’une centaine de spécialistes militaires et de 35 tonnes de matériel avaient suscité des interrogations et des protestations de la part de Washington.
Le Kremlin avait précisé qu’il s’agissait de la mise en œuvre de contrats techniques signés entre les deux pays, une présence par conséquent tout à fait légale.
Cependant, cette présence militaire russe prend une dimension inquiétante dans un contexte où le gouvernement Trump évoque la possibilité d’une intervention militaire américaine au Venezuela.
À ce titre, l’expert cité plus haut reconnaît avoir changé d’avis quant à la position russe : “Si au début de l’année je pouvais affirmer sans hésiter que la Russie ne se lancerait pas dans un conflit armé, je dirais aujourd’hui que Moscou ne peut pas rester en dehors.”
En effet, selon lui, si les Américains interviennent militairement, “une réponse russe n’est pas exclue. La situation en Syrie apparaîtra alors à toutes les parties comme une promenade de santé.”
No comments:
Post a Comment