Fable 3/16, La femme noyee.
First, there is the rather brutal misogyny of the saw he refuses.
But then it turns out the illustration and the moral are only more gently misogynist.
Not that I mind a dose of misogyny, now and again, unless it's overdone.
That's thanks to feminism, by the way, much as my racism, such as it is, is a response to the race hatred of whites by other races.
Fed by liberals, of course, much like feminist man-hating.
Liberal euro-whites and liberal men.
Is misogyny a standard theme of pessimist writing, l wonder?
Think of Nietzsche and Schopenhauer.
Ie ne ſuis pas de ceux qui diſent,
Ce n’eſt rien ;
C’eſt une femme qui ſe noye.
Je dis que c’eſt beaucoup ; & ce ſexe vaut bien
Que nous le regrettions, puiſqu’il fait nôtre joye.
Ce que j’avance icy n’eſt point hors de propos ;
Puiſqu’il s’agit
dans cette Fable
D’une femme qui
dans les flots
Avoit fini ſes jours par un ſort déplorable,
Son Epoux en
cherchoit le corps,
Pour luy rendre en
cette avanture
Les honneurs de la
ſepulture.
Il arriva que ſur
les bords
Du fleuve auteur
de ſa diſgrace
Des gens ſe promenoient, ignorans l’accident.
Ce mary donc leur
demandant
S’ils n’avoient de ſa femme apperçu nulle trace ;
Nulle, reprit l’un d’eux ; mais cherchez-la plus bas ;
Suivez le fil de
la riviere.
Un autre repartit : Non, ne le ſuivez pas ;
Rebrouſſez plutoſt
en arriere.
Quelle que ſoit la pente & l’inclination
Dont l’eau par ſa
courſe l’emporte,
L’eſprit de
contradiction
L’aura fait floter
d’autre ſorte.
Cet homme ſe railloit aſſez hors de ſaiſon.
Quant à l’humeur
contrediſante,
Je ne ſçay s’il
avoit raiſon.
Mais que cette
humeur ſoit, ou non,
Le défaut du ſexe
& ſa pente,
Quiconque avec
elle naiſtra,
Sans faute avec
elle mourra,
Et juſqu’au bout
contredira,
Et, s’il peut,
encor par-delà.
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